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La tragédie grecque au 4ième siècle : PREMIER SéMINAIRE

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Παρουσίαση με θέμα: "La tragédie grecque au 4ième siècle : PREMIER SéMINAIRE"— Μεταγράφημα παρουσίασης:

1 La tragédie grecque au 4ième siècle : PREMIER SéMINAIRE
Vayos Liapis Open University of Cyprus

2 ΧΟΡΟΥ ΜΕΛΟΣ: le chœur tragique au 4ième siècle
1a. Aristote, Poétique 1456a25-32: De plus le chœur doit être considéré comme un des acteurs, faire partie de l’ensemble et concourir à l’action, non comme chez Euripide mais comme chez Sophocle. Mais chez la plupart des poètes les chants n’appartiennent pas plus à la fable qu’à une autre tragédie ; c’est pourquoi on y chante des « chants intercalés » [embolima] dont l’origine remonte à Agathon. Et cependant quelle différence y a-t-il entre chanter les « chants intercalés » et, supposons le cas, adapter d’un poème à l’autre une tirade ou bien un épisode tout entier ? (trad. J. Hardy).

3 ΧΟΡΟΥ ΜΕΛΟΣ: le chœur tragique au 4ième siècle
1b. Men. Dysc. 230–2 (ΔΑΟΣ) καὶ γὰρ προσιόντας τούσδε Πανιστάς τινας εἰς τὸν τόπον δεῦρ’ ὑποβεβρεγμένους ὁρῶ, οἷς μὴ ’νοχλεῖν εὔκαιρον εἶναί μοι δοκεῖ. ΧΟΡΟΥ (DAVUS) Car je vois ces adorateurs de Pan qui s’approchent, plutôt ivres, à cet endroit-ci : il me semble approprié de ne pas les importuner. DU CHŒUR

4 ΧΟΡΟΥ (ΜΕΛΟΣ) Ménandre, Le Bourru, v. 232

5 ΧΟΡΟΥ ΜΕΛΟΣ: le chœur tragique au 4ième siècle
1c. P. Hib. ii. 174, fr. 1. col. 2 (2ième s. av. J.–C.) = no. 171 Mertens-Pack3 = Astydamas TrGF 60 F **1h? (Hector ?), 9-11: ]ηϲμοϲ̣ [ ] . αϲ[. . .]. . [.]θ̣ι̣γ̣ω̣ ———————— ΧΟΡΟΥ ΜΕΛΟΣ Λυ̣κ̣ί̣η̣[ϲ ] Φοῖβε, τίνα κλύω τὸν α̣[ ὁ θυηπόλοϲ [. .] μάντιϲ Ἕλενοϲ ε . . αχε̣[.]π .[ etc.

6 ΧΟΡΟΥ ΜΕΛΟΣ: le chœur tragique au 4ième siècle
Trag. Adesp. (TrGF ii) F 649: ΠΡΙΑΜΟϹ θά̣ρ̣ϲηϲον, ὦ παῖ· μὴ κάμῃϲ· ϲτῆϲον πόδα, καὶ ϲαῖϲι β[ο]υλαῖϲ προϲδέχου τὰ κρείϲϲ̣[ονα· ᾠδή ΚΑϹϹΑΝΔΡΑ βέβληκε δεινὸν κάμακα [ ΠΡ. τίϲ, τέκνον; φράϲον· ΧΟΡΟϹ ὁ Πηλιώτηϲ [ ΚΑ. ἀλλ’ ἠϲτόχηϲε<ν>· ΧΟ. εἶπαϲ ὡϲ ἔχει [  ΚΑ. Ἕκτωρ †δεδεμλει†· ΧΟ. δυστυχὴϲ ἀγω[ν   ΚΑ. ἴσως ἐδυστύχησεν κοινὰ μέχρι νῦν νικῶμεν

7 ΧΟΡΟΥ ΜΕΛΟΣ: le chœur tragique au 4ième siècle
PRIAM: Courage, ma fille ! Ne te laisse pas atterer. Mets-toi sur tes pieds, et attends-toi à une meilleure fortune dans ton esprit. CASSANDRE (en chantant): Il a lancé une lance terrible ! PRIAM: Qui ça ? Dis-moi, ma fille. CHŒUR: Le […] de Mt Pélion … CASSANDRE: Mais il a raté son coup. CHŒUR: Tu as dit […] ce qui est le cas (?) CASSANDRE: Hector … CHŒUR: Une lutte infortunée CASSANDRE: C’est une mauvaise fortune partagée (en chantant) pourvu que nous soyons vainqueurs.

8 La formation d’un canon tragique
2a. Astydamas, TrGF I, 60 T 2a εἴθ’ ἐγὼ ἐν κείνοις γενόμην, ἢ κεῖνοι ἅμ’ ἡμῖν, οἳ γλώσσης τερπνῆς πρῶτα δοκοῦσι φέρειν, ὡς ἐπ’ ἀληθείας ἐκρίθην ἀφεθεὶς παράμιλλος· νῦν δὲ χρόνῳ προέχουσ’, ᾧ φθόνος οὐχ ἕπεται. Ô, que je fusse parmi eux, ou qu’il fussent parmi nous, ceux qui sont censés maintenir la primauté de la douce éloquence, afin que je pusse être jugé avec justesse en tant que leur concurrent! Cependant, ils ont l’avantage de l’antériorité, qui est dépourvue de toute envie.

9 La formation d’un canon tragique
2b. Héraclide de Pont Περὶ τῶν τριῶν τραγῳδοποιῶν Sur les trois auteurs tragiques

10 La formation d’un canon tragique
2c. Sylloge Inscriptionum Graecarum (3ième ed.), no. 1080 (trad. de Brigitte Le Guen, ZPE 160 (2007) 97) I. Couronne de lierre Lors des Grandes Dionysies d’Athènes (vainqueur) avec l’[Or]este d’[Eu]ripide II. Couronne de laurier Lors des [Sôt]eria de Delphes (vainqueur) avec l’Héraklès d’[Eu]ripide (vainqueur) avec l’[An]tée d’Archestratos III. Couronne d’olivier sauvage Lors des [Pto]lémaia d’[Ale]xandrie catégorie hommes (vainqueur) au pugilat IV. Couronne de lierre Lors des Héraia (vainqueur) avec l’Héraklès d’Euripide (vainqueur) avec l’Archélaos d’Euripide V. Couronne de chêne Lors des Naia de Dodone (vainqueur) avec l’Achille de Chairémôn VI. Couronne de lierre et dans les concours scéniques organisés par les cités à l’occasion des Dionysies ou des autres fêtes qu’elles célèbrent : (vainqueur) à 88 reprises.

11 Diogène d’Athènes 3. Sémélè fr. 1 (TrGF I, 45 F 1) καίτοι κλύω μὲν Ἀσιάδος μιτρηφόρους Κυβέλης γυναῖκας, παῖδας ὀλβίων Φρυγῶν, τυπάνοισι καὶ ῥόμβοισι καὶ χαλκοκτύπων βόμβοις βρεμούσας ἀντίχερσι κυμβάλων < > σοφὴν θεῶν ὑμνῳδὸν ἰατρόν θ’ ἅμα. κλύω δὲ Λυδὰς Βακτρίας τε παρθένους ποταμῷ παροίκους Ἅλυϊ Τμωλίαν θεόν δαφνόσκιον κατ’ ἄλσος Ἄρτεμιν σέβειν ψαλμοῖς τριγώνων πηκτίδων ἀντιζύγοις ὁλκοῖς κρεκούσας μάγαδιν, ἔνθα Περσικῷ νόμῳ ξενωθεὶς αὐλὸς ὁμονοεῖ χοροῖς

12 Diogène d’Athènes 3. Sémélè fr. 1 (TrGF I, 45 F 1) J’entends, pourtant, que les adeptes de Cybèle l’Asiatique, porteuses de mitres, filles des Phrygiens bienheureux, dans le tintamarre des tympans et des rhombes* et des cymbales en bronze répondant au tapage de leurs mains <rendent hommage> à la savante cantatrice et guérisseuse des dieux. J’entends aussi que les filles de Lydie et de Bactrie, qui résident près du fleuve Alys, adorent Artémis, la déesse de Tmôlos, dans le bois abrité par l’ombre des lauriers : elles font vibrer des accords en octave (=μάγαδιν)** avec le son de leurs harpes en forme de triangle, pincées de manière contrebalancée, à l’endroit où selon la coutume perse l’aulos, reçu en ami, s’accorde avec les chœurs. *Instrument de musique sacrée constitué d’une planchette de bois ou de métal, au contour parfois dentelé, qu’on fait tourner au bout d’un manche ou d’une cordelette de façon à faire vibrer l’air en produisant un vrombissement modulé (Trésor de la langue française informatisé) **Pour cette interprétation de κρεκούσας μάγαδιν (‘thrumming an octave concord’) voir M. L. West, CQ 47 (1997) 49.

13 Dicéogène 4. Inscriptiones Graecae ii2 3092 (début du 4ième s.)
Μνησίστρατος Μίσγωνος Διοπείθης Διοδώρō ἐχορήγōν Δικαιογένης ἐδιδασκεν. Mnésistrate, fils de Misgon, (et) Diopéthès, fils de Diodore, étaient khorégoi [=synkhorêgia]. Dicéogène était l’entraîneur.

14 Dicéogène 4b. Dicéogène, TrGF I, 52 F 1b ὅταν δ’ ἔρωτος ἐνδεθῶμεν ἄρκυσιν, θᾶσσον θυραίοις †τὴν χάριν ποιούμεθα (πρὸς χάριν πονούμεθα Meineke) ἢ τοῖς †ἀνάγκης (τοῖσιν ἄγχιστ’ Meineke) ἐν γένει πεφυκόσιν. Lorsqu’on se trouve captivé dans les filets de l’amour, on s’efforce à faire plaisir aux étrangers plutôt qu’à nos parents les plus proches.

15 Dicéogène 4c. Scholie sur la Médée d’Euripide, v. 167
... τοῦ Εὐριπίδου μήτε ἐνταῦθα μήτε ἐν τῷ Αἰγεῖ δηλώσαντος ὀνομαστὶ τὸν Ἄψυρτον. [...] Δικαιογένης δὲ ἐν τῇ Μηδείᾳ Μεταπόντιον αὐτὸν ὀνομάζει Euripide ne mentionne nommément Apsyrtos ni ici [c.à.d. dans sa Médée] ni dans son Égée. […] Alors que Dicéogène dans son Médée lui donne le nom de Métapontios.

16 Dicéogène 4d. Cratère apulien en volute (ca. 320 av. J.-C.). Attribué à l’ « Underworld Painter ».

17 Dicéogène Créon Μédée Jason Créuse (fille de Créon)
Registre supérieur (de gauche à droite): Héraclès, Athéna, Castor, Pollux. Créuse (fille de Créon) Créon Dicéogène Hippotès (frère de Créuse) Mérope (mère de Créuse) ΕΙΔΩΛΟΝ ΑΙΗΤΟΥ Μédée 4d. Cratère apulien en volute (ca. 320 av. J.-C.). Attribué à l’ « Underworld Painter ». Jason ΟΙΣΤΡΟΣ (Fureur)

18 Dicéogène 4e. Amphore apulien (ca. 330 av. J.-C.). Attribué au « Peintre de Darius »

19 Dicéogène 4f. Aristote, Poétique 1454b37–1455a2 ἡ τρίτη (sc. ἀναγνώρισις) διὰ μνήμης, τῷ αἰσθέσθαι τι ἰδόντα, ὥσπερ ἡ ἐν Κυπρίοις τοῖς Δικαιογένους· ἰδὼν γὰρ τὴν γραφὴν ἔκλαυσεν. La troisième espèce de reconnaissance se fait par le souvenir, quand on reconnaît en voyant quelque chose, comme dans les Cypriens de Dicéogène ; le personnage ayant vu le tableau pleure (trad. J. Hardy).

20 Antiphon 5a. Aristote, Éthique à Eudème 1239a35-8
ἕλοιτ’ ἂν ὁ φίλος μᾶλλον, εἰ μὴ ἐνδέχοιτ’ ἄμφω, γινώσκειν ἢ γινώσκεσθαι, οἷον ἐν ταῖς ὑποβολαῖς αἱ γυναῖκες ποιοῦσι, καὶ ἡ Ἀνδρομάχη ἡ Ἀντιφῶντος. La personne qui aime préférerait —s’il est impossible d’avoir l’un et l’autre à la fois— de connaître [l’objet de son amour] que d’être connu [par lui] ; c’est ce que font les femmes aux cas des suppositions d’enfants ; c’est ce que fait l’Andromaque d’Antiphon (trad. J. Tricot, adaptée).

21 Antiphon 5b. Aristote, Éthique à Nicomaque 1159a27-33
δοκεῖ δὲ ἐν τῷ φιλεῖν μᾶλλον ἢ ἐν τῷ φιλεῖσθαι εἶναι (sc. ἡ φιλία). σημεῖον δ’ αἱ μητέρες τῷ φιλεῖν χαίρουσαι· ἔνιαι γὰρ διδόασι τὰ ἑαυτῶν τρέφεσθαι, καὶ φιλοῦσι μὲν εἰδυῖαι, ἀντιφιλεῖσθαι δ’ οὐ ζητοῦσι, ἐὰν ἀμφότερα μὴ ἐνδέχηται, ἀλλ’ ἱκανὸν αὐταῖς ἔοικεν εἶναι ἐὰν ὁρῶσιν εὖ πράττοντας, καὶ αὐταὶ φιλοῦσιν αὐτοὺς κἂν ἐκεῖνοι μηδὲν ὧν μητρὶ προσήκει ἀπονέμωσι διὰ τὴν ἄγνοιαν. Mais il paraît bien que l'amitié consiste plutôt à aimer qu’à être aimé. Ce qui le montre bien, c’est la joie que les mères ressentent à aimer leurs enfants. Certaines les mettent en nourrice, et elles les aiment en sachant qu’ils sont leurs enfants, mais ne cherchent pas à être aimées en retour, si les deux choses à la fois ne sont pas possibles, mais il leur paraît suffisant de les voir prospérer ; et elles-mêmes aiment leurs enfants même si ces derniers ne leur rendent rien de qui est dû à une mère, à cause de l'ignorance où ils se trouvent (trad. J. Tricot).

22 Antiphon 5c. Aristote, Rhétorique 1379b13-16
τοῖς δὲ φίλοις (sc. ὀργίζονται), ἐάν τε μὴ εὖ λέγωσιν ἢ ποιῶσιν, καὶ ἔτι μᾶλλον ἐὰν τἀναντία, καὶ ἐὰν μὴ αἰσθάνωνται δεομένων, ὥσπερ ὁ Ἀντιφῶντος Πλήξιππος τῷ Μελεάγρῳ· ὀλιγωρίας γὰρ τὸ μὴ αἰσθάνεσθαι σημεῖον. Contre les amis (nous nous enrageons) si leurs discours ou leurs procédés ne nous sont pas favorables, et encore davantage si les uns et les autres nous sont contraires, et s’ils n’ont pas le sentiment de ce que nous attendons d’eux, ce qui cause l'irritation du Pléxippos d’Antiphon contre Méléagre ; car ne pas avoir ce sentiment, c’est la marque d’un manque d’égards (trad. E. Ruelle). [C’est à dire que Méléagre a provoqué la colère de son oncle maternel Pléxippe en ne pas s’apercevant que ce dernier désirait la hure du sanglier abattu.]

23 Antiphon 5d. Antiphon, Méléagre (TrGF I, 55 F 2)
συνῆλθον τῷ Οἰνεῖ τῷ πατρὶ τοῦ Μελεάγρου οἱ ἔκκριτοι τῶν Αἰτωλῶν οὐχ ἵνα κάνωσι θῆρ’, ὅπως δὲ μάρτυρες ἀρετῆς γένωνται Μελεάγρῳ πρὸς Ἑλλάδα. Les Étoliens les plus éminents se sont rassemblés à l’invitation d’Œnée, le père de Méléagre non pas pour abattre la bête mais plutôt pour porter témoignage de l’excellence de Méléagre devant le reste de la Grèce

24 Antiphon 5e. Ovide, Métamorphoses 8.433-6
« Pone age nec titulos intercipe, femina, nostros » Thestiadae clamant, « nec te fiducia formae decipiat, ne sit longe tibi captus amore auctor ; » Les Thestiades (les oncles de Méléagre, Pléxippos et Toxeus) crient d’une voix forte : « Allons, pose cela, femme, et ne nous prive pas des titres de gloire qui nous reviennent. Que ta confiance en ta beauté ne t’abuse pas, de peur que l’amoureux qui t’a fait ce don ne soit éloigné de toi. » (trad. A.-M. Boxus et J. Poucet).

25 Antiphon 5f. Antiphon, TrGF I, 55 F 4
τέχνῃ κρατοῦμεν ὧν φύσει νικώμεθα C’est par l’art qu’on maîtrise ce en lequel on est inférieur par nature. Cf. Ps.-Eschyle, Promethée Enchaîné ( ) ; Critias, TrGF I, 43 F 19 ; Moschion, TrGF I, 97 F 6.

26 Patroclès 6a. Aristophane, Ploutos 83-5 ΧΡΕΜΥΛΟΣ: πόθεν οὖν, φράσον,
αὐχμῶν βαδίζεις; ΠΛΟΥΤΟΣ: ἐκ Πατροκλέους ἔρχομαι, ὃς οὐκ ἐλούσατ’ ἐξ ὅτουπερ ἐγένετο. CHRÉMYLUS (en s’adressant à Plutus): Dis donc, d’où viens-tu, couvert de souillures comme ça ? PLUTUS : Je viens de chez Patroclès, qui n’a pas pris de bain depuis qu’il est né.

27 Patroclès 6b. Patroclès, fr. 1 (TrGF I, 57 F 1)
καὶ νῦν τὰ δεινὰ ταῦτα καὶ τὰ πόλλ’ ἔπη εἰς ὧδε μικρὸν τεῦχος ἤθροισεν τύχη. τί δῆτα θνητοὶ πόλλ’ ἀπειλοῦμεν μάτην δεινοὺς ἐπ’ ἀλλήλοισι πέμποντες λόγους, καὶ πάντα συννοοῦμεν ἐκπράξειν χερί, πρόσω βλέποντες; τὴν δὲ πλησίον τύχην οὐκ ἴσμεν οὐδ’ ὁρῶμεν ἀθλίου μόρου. Et maintenant, tous ces propos terribles et nombreux, la Fortune les a rassemblés dans un réceptacle minuscule. Pourquoi donc, vu que nous sommes tous mortels, lançons-nous tellement de menaces vaines, envoyant l’un à l’autre des propos terribles, et croyant que nous sommes capables de tout exploit, notre esprit fixé sur l’avenir ? Et la mort misérable qui est tout près de nous, nous ne la remarquons pas !

28 Patroclès 6c. Sophocle, Électre 1142
(ΗΛΕΚΤΡΑ) σμικρὸς προσήκεις ὄγκος ἐν σμικρῷ κύτει (ELECTRE) Voilà que tu m’es venu comme une toute petite quantité dans un tout petit réceptacle.

29 Patroclès 6d. Sophocle, Électre 752-60
Désormais son cadavre était traîné au sol, jambes dressés en l'air… Non sans quelques efforts, les autres arrêtèrent les chevaux emballés, et purent dégager ce corps tout disloqué, quasi méconnaissable à ses amis. Très vite, on le brûla sur un bûcher. Lui, cet homme si fort n'est plus qu'une poussière que l'on a déposée dans une urne chétive, donnée aux Phocidiens. Ceux-ci vont l'apporter en ces lieux pour qu'il ait sa tombe en sa patrie (trad. Ph. Renault). 

30 Merci de votre attention!


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